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Profil des masseurs-kinésithérapeutes…

Démographie et exercice :
L’effectif de masseurs-kinésithérapeutes en 2023 (derniers chiffres disponibles) atteint les 78 769 professionnels. Ce chiffre est en augmentation constante et régulière depuis 2010, date à laquelle le nombre de kinés dépassait tout juste les 52 000. En 2023, plus de 3100 kinés ont apposé leur plaque.
Les principales caractéristiques de la profession demeurent :
- sa féminisation croissante (49% de femmes en 2023 contre 42% en 2010)
- un âge moyen de 41 ans, qui découle d’un léger rajeunissement des praticiens (9% de 60 ans et + en 2023 contre 11% en 2010)
- une majorité écrasante (97%) d’exercice en libéral exclusif (seulement 3% d’exercice mixte).
Au niveau géographique, les masseurs-kinésithérapeutes ont tendance à bouder certaines régions : Mayotte, la Guyane, mais aussi le Centre-Val de Loire, la Normandie, la Bourgogne-Franche-Comté et la région parisienne. A contrario, la densité de kinés pour 100 000 habitants est forte dans les régions du Sud de la métropole (Occitanie, PACA) et dans certains DROM (Guadeloupe, Martinique, Réunion).
Honoraires et activité :
Depuis 2010, on ne note pas de croissance importante des revenus des masseurs-kinésithérapeutes. Ainsi, en 13 ans, le montant moyen des honoraires perçus par kiné a augmenté de seulement 9%. Il s’élève en 2023 à 85 242 € et provient à :
- 92,8% d’actes et de majorations inclus dans la NGAP
- 3,9% des frais de déplacement (en baisse constante depuis 2010)
- 0,7% des rémunérations forfaitaires comme les contrats incitatifs démographiques
- tandis que 2,5% concernent des dépassements d’honoraires, en vraie accélération depuis 13 ans (2108 € en 2023, soit quasiment le double des dépassements de 2010).
La file active moyenne d’un kiné s’élève, en moyenne, à 210 patients vus au moins une fois dans l’année. Ce chiffre est en baisse régulière depuis 2016 (231 patients).
Votre profession | Kiné | Sources d’information
Où trouver de l’info en tant que kiné ?

En tant que kiné, votre première source d’info est l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes. Il a toute compétence en matière de :
- déontologie : examens des manquements aux devoirs professionnels, mais aussi en cas de fraudes et abus ; sanction en cas de non-respect des règles déontologiques…
- accompagnement des professionnels : organisation de conciliations dès qu’un kiné est mis en cause (litiges kiné/kiné ou kiné/autre professionnel de santé ou encore kiné/patient) ; vérification de la conformité des contrats conclus dans le cadre de l’activité professionnelle
- entraide et solidarité : soutien en termes financiers ou logistiques pour des kinés victimes d’accidents de la vie ou de catastrophes naturelles.
Les syndicats de kinés représentatifs sont également à contacter. Portant la parole des kinés auprès des tutelles (Assurance Maladie, Ministère de la Santé, Direction Générale de la Santé…), ils négocient la convention, la nomenclature, défendent les intérêts de la profession et donnent leur avis sur l’évolution de la profession et du système de santé. Trois syndicats ont été déclarés représentatifs : la FFMKR, le SNMKR et Alizé. Tous sont présents à l’échelon national, régional et départemental. A noter : un syndicat est déclaré représentatif s’il répond à 4 critères : ancienneté, effectif d’adhérent, indépendance financière, et audience électorale lors des élections professionnelles.
En tant que kiné, vous pouvez également vous tourner vers d’autres associations. Bien que n’étant pas reconnues représentatives, ces organisations nationales ou régionales, ciblées sur une pratique ou un exercice, peuvent également vous apporter de l’info. Parmi elles (liste non exhaustive) : l’AMKO (branche de la FFMKR pour les kinés-ostéopathes), l’AKTL, Kiné France Prévention, SFMKS…
Enfin, n’oubliez pas de vous rapprocher de votre Union Régionale des Professionnels de Santé (URPS) Kinés. Il y a, en effet, 1 URPS par région (y compris DROM) : c’est une association loi 1901 dont les membres dirigeants sont tous kinés libéraux en activité et élus. Représentant les kinés libéraux conventionnés auprès des institutions locales, l’URPS participe à l’organisation de l’offre de soins régionale (zonage, permanence des soins…), et accompagne les kinés au quotidien (aide au montage de structure pluripro…).
Enfin, allez surfer dans l’onglet « s’installer en libéral » de ce site : y sont répertoriés bien d’autres sources d’info (portail d’enregistrement RPPS, carto-santé, portail d’accompagnement des professionnels de santé…).
Votre profession | Kiné | Installation
S’installer comme kiné libéral…

La profession de masseur-kinésithérapeute est réglementée. Pour s’installer comme kiné libéral, il est donc obligatoire de remplir deux conditions préalables :
- détenir le diplôme d’État de Masseur-Kinésithérapeute
- s’inscrire à l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes.
S’installer comme kiné libéral implique, par la suite, une démarche de conventionnement à l’Assurance Maladie. Elle s’effectue directement en ligne sur installation-kine.ameli.fr. Elle est complétée par un « rendez-vous d’installation » avec un conseiller de votre CPAM : vous y obtiendrez tous les documents nécessaires à votre début d’exercice.
Attention ! Les avenants n° 5 et n°7 à la convention nationale ont instauré un accès au conventionnement différencié selon les lieux d’installation. Ainsi :
- en zone dite « non-prioritaire », le conventionnement ne pourra vous être accordé que si vous assurez la succession d’un kiné ayant cessé définitivement son activité
- à contrario, en zone « très sous-dotée », le conventionnement est plus facile et des aides peuvent vous être accordées.
Le zonage pour les kinés est disponible sur le portail d’accompagnement des professionnels de santé.
Une fois le lieu de votre installation choisi, il s’agit, ensuite, pour s’installer comme kiné libéral, de choisir vos mode et structure d’exercice. En effet, vous pouvez exercer :
- seul en cabinet individuel ou comme remplaçant ou assistant-collaborateur(trice). Dans ces cas, la structure juridique que vous choisirez sera l’entreprise individuelle classique (EI) ou la Société d’Exercice Libéral à Responsabilité Limitée Unipersonnelle (SELARLU)
- ou à plusieurs, avec des confrères/consoeurs. Là, plusieurs solutions s’offrent à vous. Soit vous créez une entreprise individuelle (EI) que vous complétez (avec vos confrères/consoeurs) par une Société Civile de Moyen (SCM) pour partager les frais du cabinet. Soit vous décidez de la création d’une société au sein de laquelle vous partagerez les honoraires : vous devrez alors créer une Société d’Exercice Libéral (SEL) ou une Société Civile Professionnelle (SCP).
Dans tous les cas, toute création d’entreprise individuelle ou de société s’effectue uniquement en ligne. Le guichet des formalités des entreprises avertira, par la suite, tous les organismes (Urssaf, caisse de retraite…).
Pour plus de renseignements sur l’installation comme kiné libéral, rendez-vous sur l’onglet « s’informer/s’installer en libéral » de ce même site internet. Les experts de l’Angiil sont également là pour vous accompagner.
Votre profession | Kiné | Comptabilité
Kiné libéral : tenir votre comptabilité…

Etre kiné libéral implique de tenir votre comptabilité. Toutefois, vos obligations comptables diffèrent selon votre régime d’imposition. Ainsi :
- en micro-BNC, vous n’avez qu’à tenir un simple livre des recettes. Il mentionnera le montant de vos honoraires, leur date, le moyen de règlement et le nom des payeurs
- au régime de la déclaration contrôlée, vous devez enregistrer vos recettes et dépenses dans un livre-journal, puis comparer ces écritures avec les opérations inscrites sur vos relevés bancaires (c’est le rapprochement bancaire). La 3é étape consiste alors à ventiler toutes ces écritures dans des « comptes » (ex : loyer, achat de petit matériel…), mais aussi de tenir un registre des immobilisations et amortissements. Enfin, une fois par an, vous devez établir votre déclaration 2035.
Mais comment tenir votre comptabilité de kiné libéral ? Si vous êtes :
- installé en SELARLU, SEL ou SCP, votre comptabilité, dite d’engagement, est plus complexe. Alors, conseil : faites appel à un cabinet d’expert-comptable
- kiné libéral installé en entreprise individuelle, avec ou sans contrat d’exercice en commun et/ou SCM, deux solutions s’offrent à vous : l’expert-comptable (très peu judicieux si vous êtes en micro-BNC tellement votre comptabilité est simple !) ou les logiciels de comptabilité en ligne de type robot-comptable (adaptés au micro-BNC comme au régime de la déclaration contrôlée). Parmi eux : AngiilCompta, 100% adapté à la tenue de comptabilité d’un kiné libéral.
Expert-comptable | Logiciel de comptabilité en ligne |
Coût important (1500 €/an minimum, soit 125€/mois). Nécessité de travailler 7 jours supplémentaires dans l’année uniquement pour le payer | Coût minime (à partir de 12 €/mois) |
Engagement sur 1 an minimum | Résiliable à tout moment |
Travail de préparation à réaliser en amont chaque année : annotation des relevés bancaires, transmission de toutes les factures et de tous les bordereaux d’honoraires… | Existence de robots-comptables : saisie automatique des dépenses et recettes grâce à une synchronisation avec votre compte bancaire, ; ventilation automatisée des écritures grâce à la mise en place de règles d’affectation ; remplissage simultané de tous vos documents comptables |
Collaborateurs pas toujours formés aux spécificités comptables d’un kiné libéral | Existence de logiciel robot-comptable 100% kiné avec catégories comptables spécifiques et paramétrage adapté à votre profession pour le calcul automatique de vos frais déductibles (frais blanchissage, de repas…) |
Responsabilité juridique à votre charge en cas d’erreur | Responsabilité juridique à votre charge en cas d’erreur |
Nécessité de prise de rendez-vous | Accessibilité immédiate de votre comptabilité partout et quand vous le voulez |
Données déposées sur un serveur 100% sécurisé | Données déposées sur un serveur 100% sécurisé |
Travail comptable effectué mais pas de rendez-vous explicatif | Assistance humaine et experte facilement disponible pour paramétrer votre logiciel, vous aider à le prendre en main et vous accompagner jusqu’à l’établissement de votre déclaration 2035. |
Votre comptabilité automatisée et 100% Idel, c’est avec AngiilCompta !
Votre profession | Kiné | Déclarations fiscales
Quelles déclarations fiscales pour un kiné libéral ?

Tout dépend de votre statut juridique, de votre régime d’imposition et de votre situation personnelle…
Ainsi, côté déclarations fiscales professionnelles :
- la 2035 est réservée aux seuls kinés au régime de la déclaration contrôlée, et kinés installés en société soumise à l’impôt sur le revenu. Elle permet d’établir votre bénéfice imposable (ou votre perte). Elle peut facilement s’élaborer avec un logiciel-robot comptable 100% adapté aux kinés
- la 2036 est destinée aux kinés libéraux constitués en Société Civile de Moyens (SCM) et qui partagent, de ce fait, les frais du cabinet. On y détaille les charges par poste de dépenses de la SCM, ainsi que les immobilisations et amortissements
- la déclaration 1447-C-SD ne se remplit qu’une seule fois, dans l’année de création de votre cabinet ou de votre société. Elle permet d’établir la Cotisation Foncière des Entreprises et s’envoie aux impôts en décembre
- la DAS 2 concerne, elle, tous les kinés libéraux. Seule condition : avoir versé dans l’année à un autre professionnel libéral (votre remplaçant, votre avocat…) des honoraires d’un montant supérieur à 2400 €
- enfin, la déclaration 2065 concerne les sociétés soumises à l’impôt sur les sociétés.
Pour toutes ces déclarations professionnelles (hors 2065), les adhérents de l’Angiil bénéficient de l’accompagnement des experts Angiil.
Puis, vient un autre groupe de déclarations fiscales : la famille de la 2042. On y distingue :
- la déclaration 2042 en elle-même : à envoyer, chaque année, aux impôts en mai ou juin (selon le département), la 2042 permet de déclarer les revenus du foyer fiscal (vous-même, votre conjoint…) mais aussi les réductions ou crédits d’impôts. C’est elle qui permet d’établir le montant de l’impôt sur les revenus à payer
- la 2042 C : complémentaire de la 2042, elle détaille les revenus fonciers, revenus de capitaux mobilier, plus-value…
- la 2042 C-PRO : en tant que kiné libéral, vous n’y échappez pas. En micro-BNC, vous y indiquez votre chiffre d’affaires ; tandis qu’au régime de la déclaration contrôlée, vous mentionnez les exonérations, réductions et crédits d’impôts
- la DRI-PAMC, pour déclarer vos revenus à l’Urssaf et la Carpimko. Elle permet le calcul de vos cotisations sociales
- enfin, les déclarations annexes à la 2042 : l’une (la 2042 IOM) est consacrée aux investissements outre-mer. L’autre (la 2042-RICI) permet de de déclarer les réductions et crédits d’impôt (services à la personne, frais de garde…)
Pour toutes ces déclarations 2042, une prestation Angiil spécifique a vu le jour : Angiil2042, un service de déclaration 2042 clé en main disponible dès 60 € TTC, après 50% de crédit d’impôt.
Pour optimiser votre déclaration d’impôt, vous simplifier la vie et ne pas payer pas un euro d’impôt de trop, c’est Angiil2042 !
Votre profession | Kiné | Cessation d’activité
Cessation d’activité de kiné libéral : comment faire ?

La cessation d’activité de kiné libéral peut être choisie (départ à la retraite, salariat, reconversion professionnelle…) ou subie (invalidité…). Dans les deux cas, vous avez plusieurs démarches à effectuer pour partir dans les meilleures conditions.
Informer vos confrères/consoeurs du cabinet constitue le 1er acte à réaliser (envoi d’un recommandé avec accusé de réception).
Puis se pose la question d’un repreneur qui achètera votre matériel ET votre patientèle. Pour ce faire, vous devez fixer un prix de cession de votre cabinet. Son montant varie en fonction :
- des éléments corporels (tables de soins, lampe infrarouge, tapis de marche, appareil d’ultrasons…)
- des éléments incorporels : chiffre d’affaires, fichier patients, ancienneté… Dans les zones « non prioritaires », le lieu d’implantation est évidemment le plus important. L’incorporel devient même, en réalité, un droit d’accès au conventionnement !
Attention ! La répartition corporels/incorporels est fondamentale pour la détermination de la plus-value imposable ! D’où un conseil : faites appel à un avocat pour toute cette démarche. A cet effet, si vous êtes adhérent Angiil, vous bénéficiez d’une réduction de 10% sur les prestations d’avocat Legal-Idel.
Une fois votre successeur trouvé, vient le temps de :
- informer le plus tôt possible la Caisse Primaire d’Assurance Maladie et l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes de votre prochaine cessation d’activité de kiné libéral en précisant le motif et la date de votre dernier jour
- et surtout, déclarer votre cessation d’activité de kiné libéral au maximum dans les 30 jours sur www.formalites.entreprises.gouv.fr. En l’effectuant, vous seriez radié du registre national des entreprises (RNE), du répertoire Sirene, de l’Urssaf et du service des impôts des entreprises. Pour plus de facilité, l’Angiil propose AngiilFormalitésPro, prestation déductible de déclaration de changement d’adresse professionnelle et/ou de cessation d’activité en 3 à 10 jours seulement.
Enfin, il vous appartient encore de :
- prévenir la Carpimko (prise d’effet de la cessation au 1er jour du trimestre suivant)
- demander si vous le souhaitez, votre radiation à l’Ordre
- avertir les impôts dans les 45 jours, puis déposer une déclaration 2042 C-PRO en mai ou juin suivant si vous êtes en micro-BNC
- transmettre dans les 60 jours votre déclaration 2035 si vous êtes au régime de la déclaration contrôlée
- établir une demande de remise gracieuse de la CFE avant le 31 décembre.
Pour ces dernières démarches, les adhérents Angiil peuvent, évidemment, compter sur nos experts !
Pour une cessation d’activité de kiné libéral sereine et déductible, c’est AngiilFormalitésPro
Votre profession | Kiné | Retraite
Prendre sa retraite de kiné libéral

Prendre sa retraite de kiné libéral implique de :
- avoir atteint l’âge requis : entre 62 et 64 ans selon l’année de naissance, et 67 ans pour bénéficier d’une pension à taux plein
- avoir payé toutes vos cotisations Carpimko (régime de base, régime complémentaire et Avantage Social Vieillesse)
- et faire votre demande de liquidation : votre pension de retraite n’est pas automatiquement versée !
Mais, surtout, prendre sa retraite de kiné libéral ne s’improvise pas ! En effet, il est possible d’optimiser le montant de votre future pension en fonction de la date à laquelle vous déposerez votre demande de liquidation. Comment ? Car le montant de votre retraite dépend (en partie) du nombre de trimestres que vous avez acquis pendant toute votre carrière.
Ainsi, pour bénéficier d’une pension à taux plein, vous devez avoir validé entre 167 et 172 trimestres (selon votre année de naissance) tous régimes confondus. Mais votre pension peut être :
- majorée (surcote) si vous totalisez un nombre de trimestres supérieurs (surcote croissante en fonction du temps travaillé en supplément)
- ou, au contraire, minorée (décote) si votre nombre de trimestres est inférieur (pourcentage de décote variable en fonction du nombre de trimestres manquants).
Travailler quelques mois supplémentaires (ou en moins) peut donc avoir une forte répercussion sur le montant de votre retraite… Et ce, d’autant que les dates de départ en retraite sont limitées à 4 moments dans l’année : le 1er janvier, le 1er avril, le 1er juillet ou le 1er octobre.
Il convient donc de bien calculer la date de votre départ… Mais le faire est difficile car le montant de votre retraite de kiné libéral dépend également de :
- la valeur des points de chacun des régimes auxquels vous avez cotisé (les cotisations sont, en effet, converties en points)
- votre situation personnelle et familiale : nombre d’enfants, inaptitude ou handicap…
Pour y arriver, une solution : souscrire à « Ma retraite accompagnée », l’accompagnement administratif 100% personnalisé de l’Angiil. Prestation éligible à un crédit d’impôt ou déductible sur la déclaration 2035, « Ma retraite accompagnée » permet d’optimiser votre pension retraite de kiné libéral, mais aussi de vous assurer une liquidation sereine (réalisation de l’ensemble de votre dossier, résolution des anomalies…).
Enfin, bien anticiper votre départ à la retraite de kiné libéral est primordial afin d’éviter de perdre trop de pouvoir d’achat. Car n’oubliez pas qu’un ancien kiné libéral perçoit, en moyenne, une pension de retraite de la Carpimko de 1430 €/mois…
Pour optimiser votre retraite de kiné libéral et s’assurer d’une liquidation en toute sérénité, c’est Ma Retraite Accompagnée !